Le rachat de Twitter par le milliardaire américain Elon Musk inquiète les parlementaires canadiens.
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Cette acquisition pose des questions sur la future gestion du réseau social.
En effet, Musk a indiqué qu’il voulait s’attaquer à la liberté d’expression sur Twitter, qui, selon lui, a été violée.
Ainsi, plusieurs parlementaires craignent que les fake news et les discours de haine ne deviennent plus courants sur les réseaux sociaux.
« Dans un monde où il y a de plus en plus de polarisation, où de plus en plus de médias sociaux sont utilisés à des fins d’information et de désinformation, je pense qu’il faut être prudent », a déclaré le ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie François-Philippe Champagne.
« A voir sans limites, sans cadre, le pouvoir des individus devient tel qu’il peut faire plier les gouvernements, faire plier les États […] ça doit être inquiétant », a déclaré Yves-François Blanche, le chef du bloc québécois.
Les législateurs québécois sont également inquiets de la nouvelle. Sylvain Godreau et Manon Masse ont aussi précisé qu’ils avaient des réserves.
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