Le parquet de Toulouse vient d’enregistrer les plaintes de trois femmes qui affirment avoir été piquées dans une boîte de nuit de la Ville rose. Les faits remontent au week-end des 16 et 23 avril.
Les cas se multiplient. Trois plaintes ont été déposées à Toulouse par des femmes considérées comme victimes d’injections dans un lieu de villégiature, a-t-on appris jeudi auprès du parquet, qui a ouvert une enquête pour “usage d’une substance nocive”.
“Trois plaintes ont été récemment déposées pour des faits commis dans la nuit du 15 au 16 avril, puis du 22 au 23 avril dans un club toulousain”, a déclaré à l’AFP le procureur de Toulouse Samuel. Vuelta Simon. “Une enquête a été ouverte par le chef du département des substances nocives” et “des analyses biologiques des échantillons prélevés sur les victimes sont en attente”, a-t-il ajouté.
Quinze enquêtes à Rennes
A Rennes, quinze enquêtes ont été ouvertes depuis décembre et ont été confiées à la sécurité départementale à la suite de signalements d’injections touchant majoritairement des femmes, un phénomène qui reste “sans explication tangible”, ont indiqué mercredi 27 avril les procureurs.
Un attroupement s’est produit à Montauban après des soupçons de piqûres de clients de discothèques le week-end du 23 avril. Aucune plainte n’a été déposée, le gérant parle de mauvaise fraude.
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